Chevrolet Impala 2014 : La renaissance (encore)

Pas pour rien si GM nomme son siège social le Renaissance Center. Ses vieux modèles ne cessent de renaître. Ce sera le cas en 2014 pour la grosse berline Impala.PLUS: Le salon de New York en douze concepts et prototypesPLUS: Essai de la Chevrolet ...
Pas pour rien si GM nomme son siège social le Renaissance Center. Ses vieux modèles ne cessent de renaître. Ce sera le cas en 2014 pour la grosse berline Impala.
D’une fois à l’autre, ce ne sont pas que de minces révisions qui sont apportées. L’Impala est revue de bout en bout afin de rivaliser avec un peu plus d’aplomb contre des modèles tout aussi connus des automobilistes nord-américains : la Taurus, de Ford, et la Charger, de Dodge.
Tiens, deux autres revenants.
Chevrolet aime beaucoup son Impala, car c’est une des voitures les plus vendues sur le continent. Ça n’en fait pas une voiture populaire pour autant, mais les agences de location, les agences gouvernementales et les parcs d’entreprises aiment bien son format et son prix, alors…
Ça explique peut-être l’allure toujours aussi conservatrice de l’édition 2014. La dernière refonte ayant eu lieu en 2005, ça fait quand même du bien, surtout que la silhouette du nouveau modèle est épurée et dégage une aura plutôt positive.
À l’intérieur, Chevrolet suit la tendance et a créé un espace de conduite style cockpit, avec une imposante console centrale qui sépare les baquets, à l’avant. Le tableau de bord hérite de deux écrans ACL, un premier de 4,2 pouces, logé parmi les cadrans, et le second au haut de la console, de 8 pouces, celui-là.
Oui, huit pouces. Vingt centimètres. C’est grand. Assez pour afficher toute sorte d’information tirée du véhicule et d’ailleurs. L’électronique ne s’arrête pas là : régulateur de vitesse adaptatif, alerte au changement de voie, avertissement de collision imminente, alerte d’angle mort, et tout le reste est également de mise.
Sous le capot, ce n’est pas seulement la renaissance, c’est la révolution. Pour Chevrolet, en tout cas : un quatre cylindres Ecotec de 2,4 litres, avec appui électrique sous la forme du groupe eAssist, génère 182 chevaux et ne consomme que 6,9 litres aux 100 kilomètres en moyenne, selon le fabricant. Un second quatre cylindres, un 2,5 litres de 195 chevaux, est aussi offert, tout comme un V6 de 303 chevaux.
Toutes ces cylindrées sont jumelées à une boîte automatique à six rapports.
Chose certaine, la critique est tout à fait conquise par son style et sa fiche technique. On a hâte de voir le prix de ce nouveau modèle.

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